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Séances de projection et performances aux Abattoires, Musée – Frac Occitanie

by Administrateur
Dimanche 19 mars à 13h30 au Lycée Ozenne au 9 rue Merly, 31000 Toulouse.

Un dernier rendez-vous dans la cadre des XXVIe Rencontres Internationales Traverse aux Abattoirs, Musée – Frac Occitanie pour une après-midi de deux séances de projections et performances, en présence de nombreux artistes.

A last meeting of the XXVI Internationales Encounters Traverse at the Abattoirs, Museum – Frac Occitanie for an afternoon of two screenings and performances with the attendance of many artists.

Entrée gratuite / Free entry

Les Abattoirs, Musée – Frac Occitanie au 76 allées Charles de Fitte, 31300 Toulouse.

Programmation / Programme 

Séance de projection 1 / screening 1 :
Sheri Wills, SEAM, 3min37 (US, CJC)
Kuan-Yuan Lai, Resonation – Speak to Awaken: Ep.1 Diving Into Siraya – Live Recording, 17min (TW)
Anabela Costa, Asymmetrical Square, 4min18 (FR)
Germondari Werther, Entropy, 1min48 (IT)
Eduardo Gutiérrez Carrera, Holobiont, 4min45 (PE)
Kate Solar, Girl-like, 3min50 (CA)
Jason Moyes, forms with space and distance and hills, 3min12 (SC)
Vasilios Papaioannu, Parenthesis, 4min37 (US)
Camille Pueyo, Disparition(s), 3min23 (CA, Vidéographe)
Salvatore Insana, PREFERISCO LE TENEBRE, 9min30 (IT, DEHORS/AUDELA) Yvonne Calsou, Sans titre, 8min07 (Toulouse)
Damien Cattinari, Étude d’un paysage, 5min45 (FR)

Performance :
lamathilde, KICKWORD (CA) VR participative

Séance de projection 1 / Screening 2 :
Eya Gharbi, Palimpsest Places, 1min25 (TN)
An-Laurence Higgins & Aaron Pollard, Engramme, 14min46 (CA, Vidéographe) Marion Orfila , Orée Délocalisée, 9min31 (DE)
Isabel Pérez del Pulgar, La fuerza de los elementos, 20min35 (FR)
Jan Adamove, PURPOSEFUL WALK, 1min12 (SK)
Úrsula San Cristóbal, Tisser un corps, 6min07 (ES)
Myriam Thyes & Maria Anna Dewes, FIRST AID – TEST SERIES 1, 8min35 (DE)

Performance :
Parya Vatankhah, Our lives matter, 20min (FR/IR)

Lors de la sélection des oeuvres naît toujours l’étonnement face à des parallèles, à des ressemblances de motifs qui s’égrènent d’un pays à l’autre, voire d’un continent à l’autre. Si la préoccupation vivace concernant l’état de notre planète bleue y est rassurante, elle était aussi espérée et bienvenue que les réclamations concernant l’acceptation de chacun sans ostracisme, alors qu’aucune des propositions retenues ne sacrifie pas la plasticité expérimentale ni l’invention artistique. Cependant ainsi que l’eau en 2021, que l’arbre soit l’élément souvent retenu et que le privilège accordé au son y compris en installations dédiées en réponse à Variabilités en échos, ne s’explique pas si aisément. Quant au footage, il emprunte aux publicités, aux films de famille plutôt fréquemment, et au western. Notre attente de formes diversifiées a également été comblée par la Variabilités en échos de films d’animation aux techniques comme aux formats les plus éloignés, du film-film au numérique – parfois dans une même oeuvre – de l’analogique à la VR – réalité virtuelle – avec deux ou trois incursions dans la création de l’IA – intelligence artificielle – et une focalisation sur la pellicule en divers formats – parfois dans un même film. D’autres œuvres procurent le plaisir de retrouver des procédés des premiers temps comme la photographie au collodion humide ou travaillée à l’encre, au vernis et avec d’autres produits inattendus.

La variabilité gagne son pluriel tant elle va des produits employés aux manières de faire, des manières d’aborder des questions et le monde aux manières d’aborder la création.

Et nous avons aimé pousser cette polysémique variabilité plus encore en décidant de programmer en salles et en installations ou en boucles sur écran, certains films afin que se perçoivent les différences provoquées par la différence de projection- diffusion. Un atelier grattage-peinture en trois matinées, entraînera différemment à cette matérialité du film.

Un rendez-vous dédié et à Parya Vatankhah performeuse, peintre vidéaste et chercheuse qui en sera la maîtresse d’oeuvre et aux femmes opprimées, singulièrement aux Iraniennes, pays d’origine de l’artiste, invitera au débat – cette édition étant, par ailleurs, dédiée à elles ; Parya performe en ouverture et en coda du marathon, à l’Ancien Réservoir de Guilheméry et aux Abattoirs, Musée – Frac Occitanie.

Le son en paroles en musique vous accueillera dans tous nos espaces d’exposition.

Découvrez la programmation complète sur / Full programme at: https://traverse-video.org/dimanche-19-mars-2023-les…/

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