
Inutile de tourner autour du problème pendant cent sept ans, le dernier roman d’Amanda Filipacchi n’est pas d’une écriture très recherchée ni d’un style souverain et encore moins affirmé. Et…
Inutile de tourner autour du problème pendant cent sept ans, le dernier roman d’Amanda Filipacchi n’est pas d’une écriture très recherchée ni d’un style souverain et encore moins affirmé. Et…